Le journal indique que la jeune fille a investi les réseaux sociaux à la recherche de la solution pour «effacer» sa grossesse à l’insu de sa famille. Des comprimés lui sont conseillés, elle les achète, se retire dans sa chambre et avale la dose recommandée. Le résultat est direct, d’après L’Observateur : «Elle a expulsée une partie du fœtus de 15 semaines après avoir abondamment saigné.»
L’avortement a déclenché de «terribles maux de ventre», et pour ne rien n’arranger, la lycéenne «continuait toujours à saigner». Ce qui l’a contrainte à se rendre à l’hôpital. Après avoir examiné la patiente, une sage femme découvre «que l’autre partie du fœtus était restée coincée dans son ventre» et alerte aussitôt les limiers.
Démasquée, la lycéenne passe aux aveux, face aux enquêteurs : «J’ai été engrossée par mon petit ami. Ne voulant pas être la risée de mon entourage et de mes camarades de classe, j’ai décidé d’interrompre la grossesse. J’ai commandé des médicaments via les réseaux sociaux.»
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